Donald Trump s’est adressé à la Cour suprême pour une doléance liée à son usage de Twitter.
La raison : le président américain espèce recouvrer le droit de bloquer ses détracteurs sur le réseau social.
Donald Trump s’en remet à la Cour suprême
Le sulfureux 45ème président des États-Unis a pris la plume pour s’adresser à la Cour suprême, sommet du pouvoir judiciaire au pays de l’Oncle Sam. Il demande à ce tribunal de dernier ressort que soit revue une décision de justice de 2018, lui interdisant de bloquer tout utilisateur sur Twitter.
Qui dit communication publique dit impossibilité de bloquer qui que ce soit
Sept utilisateurs bloqués par le compte Twitter de Donald Trump avaient déposé plainte contre celui-ci. Leur grief ? Ledit compte étant considéré comme un support de communication public, il devait se plier aux règles en vigueur en matière de liberté d’expression. La justice américaine avait ainsi tranché : « La possibilité de réagir aux fréquents tweets présidentiels, en les commentant, s’inscrit dans l’exercice de la liberté d’expression protégée par le premier amendement de la Constitution ».
Propos privés VS propos gouvernementaux
Deux ans après la très commentée décision de justice, c’est bien ce qualificatif de « support de communication public » qui fait grincer des dents l’ex-animateur de télévision. Ses défenseurs font valoir que les diverses publications de M. Trump sur son compte relèvent « davantage de propos privés que d’ordre gouvernemental ».
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