Un imposant redressement fiscal a été imposé à la filiale française du réseau social.

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Le groupe de Mark Zuckerberg a accepté le redressement proposé, s’élevant à quelques 106 millions d’euros.

Haro sur les GAFAM

C’est l’un des derniers chapitres en date d’un histoire débutée en 2012. Cette année-là, le fisc français sort les crocs et place dans sa ligne de mire quelques-uns des géants du numérique installés sur son territoire. Parmi eux : Google, Microsoft, Amazon… et Facebook avec, pour ces derniers, notamment une perquisition de leurs locaux parisiens.

Des impôts reversés en Irlande ou au Luxembourg

Ce que l’État français reproche à Facebook ? Déclarer des revenus dégagés en France via publicité ou vente en ligne dans d’autres pays « fiscalement plus souples », Irlande et Luxembourg en pole position. Prise la main dans le sac, la filiale française a confirmé « avoir conclu un accord avec l’administration fiscale portant sur les années 2009 à 2018 », au titre duquel elle versera à la France « un règlement de 106 millions d’euros ».

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