En 2016, Facebook ouvrait une plateforme pour prévenir les suicides.

Saluée, l’initiative fait depuis grincer des dents puisque le réseau social de Mark Zuckerberg aiderait en parallèle les annonceurs à cibler les adolescents mal dans leur peau.

 

Des cibles « anxieuses » ou se sentant « inutiles »

C’est le journal The Australian qui, le premier, a mis le feu aux poudres. Le quotidien s’est procuré un document confidentiel de Facebook où le géant du réseautage social vante des algorithmes capables de détecter « les moments où les jeunes ont besoin d’un regain de confiance« . Comprendre – et c’est écrit dans le rapport : quand ces jeunes sont « anxieux » et « nerveux » ou, pire encore, se sentent « stupides » voire « inutiles« .

 

Facebook a ouvert une enquête pour comprendre le « manquement à la procédure »

Annonceurs, vous souhaitez savoir quels utilisateurs Facebook sont intéressés par « le sport et la perte de poids » parce qu’ils sont mal dans leur peau ? Vous vous y prenez un peu tard, puisque Facebook, contacté par le journal australien, a présenté ses excuses et promis une enquête interne.

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