Ce mercredi, penchons-nous sur quelques allégories informatiques du dessinateur Scott Johnson. Pour l’artiste, qui semble tout prendre au pied de la lettre, les renards sont de feu, les fenêtres sujettes à exploration et les héros de comics voient des statues d’adobe, cette brique rudimentaire de terre mêlée de paille et séchée au soleil, érigées en leur honneur.
D’aucuns exhibent avec fierté de longs vases aux couleurs flamboyantes pour décorer leur intérieur, des cadres enchanteurs garnissant leurs photos de vacances ou même des statuettes en pierre
ramenées d’on ne sait où. Pour d’autre, l’art de la décoration prend des allures d’hommage, de révérence à des objets du quotidien assez incongrus. Exemple en image, avec une Valérie Damidot de fortune visiblement très attachée à son modem.
En ce mercredi, prenons le temps de rappeler à nos lecteurs combien, pendant la création d’une société, l’étape du choix du nom est importante. Vérifiez toutes les connotations de l’appellation choisie, et surtout, faites-le dans plusieurs langues. Le site Escrow.com aurait dû mettre en pratique cet enseignement. Sa spécialité : la protection de vos transactions réalisées sur Internet. Ça ne s’invente pas.
Le 3 décembre 2012 est à marquer d’une pierre blanche dans l’Histoire du Vatican : en ce jour solennel, le Pape a officiellement ouvert un compte sur Twitter. Le dessinateur Arcadio propose sa vision de cette incursion dans la technologie moderne.
A ce jour, une seule publication postée sur @Pontifex (un profil en anglais décliné, entre autres, en italien, en espagnol et en français)., pas plus tard que ce matin : »Chers amis, c’est avec joie que je m’unis à vous par twitter. Merci pour votre réponse généreuse. Je vous bénis tous de grand cœur. » Rien que ça. (suite…)
Cette semaine, projetons-nous dans un temps pas si éloigné que cela, que le dessinateur John Atkinson a eu l’idée de baptiser « the Outernet » – comprendre « l’hors-Internet« . Un monde merveilleux où eBay s’appelait un supermarché, Google une bibliothèque et YouTube un cinéma. Un lieu d’échange à taille humaine, où les gens glandaient dans un parc, et non sur Facebook, et où grimper sur une caisse en bois permettait, moyennant une bonne élocution, d’exposer ses idées et points de vue avant l’avènement de Twitter. Dans l’Outernet, les prestataires de services n’étaient encore que des bus, des taxis ou des facteurs. Un monde tout compte fait assez éloigné du nôtre.
